Bonjour a mon avis, parfois non car certaines personnes commetes des erreurs, des mauvais actes, et en plus disent: pour moi ce que j'ai fait n'a rien de mal, donc ils pensent qu'ils sont gentille qu'il n'on jamais fait de mal alors que ce que pense leur entourage et tout le contraire. C'est pourquoi ils continuent de faire le mal,ils ne sont pas conscient de ce qu'ils You Might Be Interested In Je suis et j’ai conscience d’ĂȘtre la certitude d’exister m’est donnĂ©e par la conscience. → RĂ©fĂ©rence Hegel et sa double existence » non seulement on existe mais on se voit exister dans une sorte de dĂ©doublement de soi rendu possible par le miroir qu’est la conscience. Introduction L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant
Quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus grand que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui; l’univers n’en sait rien , dĂ©clarait Pascal dans une cĂ©lĂšbre PensĂ©e. Ce faisant il soulignait le privilĂšge qu’a tout homme d’ĂȘtre conscient de ce qu’il est. Un tel privilĂšge est-il pour autant acquis avec la condition humaine l’expĂ©rience ne m’apprend -elle pas que, tout humain que je sois, il arrive bien souvent que ce que je m’imagine ĂȘtre diffĂšre de ce que je suis rĂ©ellement, et que je fasse donc erreur sur ce que je suis. Aussi le problĂšme se pose-t-il de savoir si je suis ce que j’ai conscience d’ĂȘtre. Pour le savoir un examen attentif de la question nous amĂšnera Ă  interroger l’apport de la conscience Ă  la connaissance de soi en distinguant soigneusement le pouvoir de connaissance de la conscience rĂ©flĂ©chie de celui, peu fiable, de la conscience immĂ©diate. Partie 1 ProblĂ©matisation de la questiona Analyse du libellĂ© du sujet– Structure A ?=? B. ?=? SUIS »Y a-t-il conformitĂ© entre
 . B = Ce que JE ai conscience d’ĂȘtrele contenu de la conscience de soi
 . A = Je
et son objet? => La question porte sur la portĂ©e cognitive de la conscience de soi il s’agit de savoir si la conscience de soi est susceptible de m’apprendre ce que je suis, quelle est mon essence – La conscience de soi Ă©tant l’apprĂ©hension que l’on a de ce que l’on est, la question est de savoir si ce savoir », introspectif, est vĂ©ridique, s’il rend bien compte de ce sur quoi il porte, et donc s’il est une bonne voie d’accĂšs Ă  la connaissance de Mise en Ă©vidence des principaux si la conscience de soi rend bien compte de ce que l’on est, suppose que l’on sous-entende 1 que la conscience de soi est en quelque façon, mĂȘme si elle l’est mal, facultĂ© de connaissance de soi la conscience de soi est posĂ©e comme conscience-savoir de CE que je suis. La conscience de soi n’est-elle pas plutĂŽt conscience d’exister plutĂŽt que conscience claire ou non d’ĂȘtre tel ou tel ? 2 que JE sois qqc, et donc en quelque maniĂšre dĂ©finissable, titulaire pour ainsi dire d’une essence. Y a-t-il un CE que je sois ? L’existence ne prĂ©cĂšde-t-elle pas mon essence ? 3 qu’il y ait moyen de savoir si la conscience dit vrai. Doit-on admettre une voie d’accĂšs Ă  la rĂ©alitĂ© autre que celle de la conscience – qui permette d’évaluer par comparaison les donnĂ©es de la conscience ? On peut douter qu’il soit possible de faire l’économie de la conscience pour savoir ce que l’on est
 => N’y aurait-il pas lieu de distinguer entre des niveaux de conscience diffĂ©rents ? c Elaboration de la problĂ©matique Question-mĂšre comment savoir si JE = CE que j’ai conscience d’ĂȘtre ? En me demandant 1 si la conscience m’apprend quoi que ce soit sur moi-mĂȘme, et s’il y a lieu de distinguer entre des nivaux de savoir diffĂ©rents, plus valablement instructifs les uns que les autres Question Y a-t-il un savoir sur soi-mĂȘme auquel la conscience de soi puisse prĂ©tendre?A quoi ou Ă  qui faire appel pour rĂ©pondre Ă  cette question? A Descartes, qui a cherchĂ©, avant nous, Ă  savoir ce qu’il pouvait savoir de ce qu’il Ă©taitCf. MĂ©ditation 2 2 si le savoir ainsi obtenu est susceptible d’ĂȘtre suffisant, en tant que savoir. Ce qui amĂšne Ă  interroger les donnĂ©es de la conscience pour savoir si elle sont fidĂšles, si elles rendent bien compte de ce que je suis, bien cĂ d de façon complĂšte – sans lacunes constitutives et de façon non dĂ©formĂ©e. A qui ou Ă  quoi faire appel?A ceux qui ont suspectĂ© la vĂ©racitĂ© de la conscience, Spinoza, Nietzsche et Freud. Partie 2 Recherche d’une solution au Que puis-je savoir sur moi-mĂȘme Ă  l’aide de la conscience que j’ai de moi-mĂȘme?Cf. Descartes 1 spontanĂ©ment
pas grand chose de clair et de sĂ»r 2 de façon rĂ©flĂ©chie
apparemment moins mais mieux 3 ConsĂ©quenceIl y a conscience et conscience Ce que j’ai conscience d’ĂȘtre n’est pas aussi susceptible d’ĂȘtre fidĂšle Ă  ce que je suis selon que je m’en tiens Ă  ce que j’éprouve spontanĂ©ment ou que j’examine mes impressions avec circonspection. B. La conscience de soi n’est-elle pas mĂ©connaissance de soi?1 La conscience de soi ne connaĂźt-elle pas des limites qu’elle ignore et qui gĂ©nĂšrent ainsi des illusions ?Cf. Spinoza 2 La conscience de soi n’est-elle pas trompeuse la pensĂ©e consciente n’est elle pas le jouet d’une sorte de volontĂ© organique dont je n’ai nulle conscience immĂ©diate et qui me fait faire ce que je fais Ă  mon Nietzsche 3 La conscience n’est-elle pas piĂ©gĂ©e par des forces qui la tiennent Ă  l’écart et qui pourtant dĂ©terminent ma Freud moi pris en Ă©tau entre le ça et le sur-moi avec pour effets les actes manquĂ©s et phĂ©nomĂšnes nĂ©vrotiques. C. La mĂ©connaissance est-elle inĂ©luctable ?1 Issue spinoziste connaissance du troisiĂšme genre; conscience ajustĂ©e Ă  l’Etre, par la Raison. 2 Issue NietzschĂ©enne philosophie du soupçon [conscience suspectĂ©e par la conscience, chemin de luciditĂ©]. 3 Issue Freudienne dĂ©senclaver le moi, grĂące Ă  l’évocation de ce qui nous anime, voie de guĂ©rison. ConclusionLivrĂ©e Ă  elle mĂȘme, la conscience spontanĂ©e est source d’erreurs et d’illusions, dupe, manipulĂ©e et donc condamnĂ©e Ă  la mĂ©connaissance. Si je veux avoir chance de savoir ce que je suis, il faut Ă©lever ma conscience au niveau, supĂ©rieur, de la conscience rĂ©flĂ©chie. Ce que Socrate dĂ©jĂ  aidait ses interlocuteurs Ă  faire. Ce que Descartes nous a appris Ă  effectuer, chacun pour notre compte. Ce que rĂ©alise l’entreprise philosophique. Pascal lui-mĂȘme Ă©tait pleinement averti de la nĂ©cessitĂ© d’un tel passage par la philosophie, puisque, concluant sa rĂ©flexion sur le pouvoir confĂ©rĂ© Ă  l’homme par la conscience, il Ă©crivait travaillons donc Ă  bien penser ! » Demandezvous ce qui distingue le rationnel et le raisonnable et si le rationnel peut ĂȘtre dĂ©raisonnable. En obĂ©issant Ă  un commandement raisonnable c'est au meilleur de moi mĂȘme que j'obĂ©is: en acceptant ce qui est conforme ai bien, je consens Ă  ma propre rĂ©alisation comme ĂȘtre raisonnable, personne, fin en soi.

Exemples d’intro possible et plan dĂ©taillĂ© Intro 1 En logique, dans un jugement d’attribution entre deux termes, le verbe ĂȘtre » comme copule Ă©tablit un rapport de comprĂ©hension ou d’inclusion entre ces 2 termes. Cela signifie que le 1er terme est compris, englobĂ© dans le second ou mĂȘme Ă©gal au second comme par exemple dans je suis un ĂȘtre humain », je suis moi ». En ce sens, on pourrait aussi dire que je suis ce dont j’ai conscience, la conscience Ă©tant ce qui me permet de parvenir Ă  me sentir, Ă  me dire et me reprĂ©senter comme un Je. Mais ĂȘtre a aussi un sens existentiel. Dans ce sens, une chose est ; si elle a une rĂ©alitĂ© effective, si elle existe de fait. Or on peut penser que si j’ai conscience de ce que je suis, je ne suis pas nĂ©cessairement toujours ou encore de fait ce que je pense ĂȘtre, ce que je sais ĂȘtre. Il peut y avoir un Ă©cart entre ce que je suis pour moi et ce que je suis de fait. Aussi on peut se demander si je suis ce que j’ai conscience d’ĂȘtre. C’est donc du problĂšme de l’identification du moi et de la rĂ©alisation de soi dont nous allons traiter. Nous nous demanderons donc si le Je n’est pas ce que j’ai conscience d’ĂȘtre ; si j’existe de fait tel que je suis pour moi et si on peut rĂ©ellement rĂ©duire le moi Ă  ce dont j’ai conscience de moi. Intro 2 Le je dĂ©signe d’abord le sujet en tant qu’il prend conscience de lui-mĂȘme et qu’il a un sentiment d’unitĂ© et d’unicitĂ©. Se penser Je, Ă  la premiĂšre personne, c’est se savoir ĂȘtre soi et pas un autre, se savoir demeurer soi sous les diffĂ©rents Ă©tats de conscience. En ce sens, il semble que le je soit intimement liĂ© Ă  la conscience et soit rĂ©ductible Ă  celle-ci. Mais le je dĂ©signe aussi le moi empirique, c’est-Ă -dire tout ce que je suis de fait, mes caractĂ©ristiques physiques, organiques et psychiques. Si je me vois extĂ©rieurement, je ne me vois pas nĂ©cessairement intĂ©rieurement dans mon ensemble, dans tout ce qui me constitue. Dans ce cas, il se pourrait que ce que je suis excĂšde ce que j’ai conscience d’ĂȘtre. Cela expliquerait que je puisse m’étonner moi-mĂȘme, me surprendre Ă  faire quelque chose que je ne me croyais pas capable de faire ou que je puisse ne pas me comprendre et me chercher. Aussi on peut se demander si je ne suis que ce que j’ai conscience d’ĂȘtre. C’est donc du problĂšme de l’identification du moi, de ses limites, de nos possibilitĂ©s de le saisir dans son intĂ©gralitĂ© et de l’incarner dont nous allons traiter. Nous nous demanderons donc si ce n’est pas parce que je suis conscient que je possĂšde le je dans ma propre reprĂ©sentation, si pour autant ma conscience embrasse tout ce que je suis et si enfin j’existe tel que je suis pour moi. Plan I. je suis parce que je suis conscient et ce que je suis, c’est ce dont j’ai conscience 1. C’est parce que nous sommes dotĂ© de la conscience rĂ©flĂ©chie qu’en mĂȘme temps qu’on perçoit qu’on perçoit qu’on s’entraperçoit et prend conscience que l’on est. Je pense donc je suis » Descartes 2. prendre conscience de soi, ce n’est pas s’arrĂȘter Ă  ce dont on a une conscience immĂ©diate, c’est porter un jugement et par lĂ  se connaĂźtre, s’identifier. Je vais me dĂ©finir par ce dont j’ai conscience de moi-mĂȘme mon corps, mon caractĂšre, mes dĂ©sirs, etc
 3. ce dont je n’ai pas conscience ne peut ĂȘtre dans la dĂ©finition de ce que je suis pour moi. Tr mais la conscience ne peut-elle pas ĂȘtre lacunaire et dans ce cas, ce que je suis en soi ne peut-il pas excĂ©der ce que je suis pour moi ? II. je ne suis pas en soi que ce que je suis pour moi. 1. je ne sais de moi que ce dont je veux bien prendre conscience mauvaise foi, divertissement,
 2. je ne sais pas tout de moi, conscience superficielle de moi-mĂȘme Nietzsche ou Spinoza Ce dont j’ai conscience, c’est ce que je veux, dĂ©sire et fais mais non les causes qui expliquent ce que je veux, dĂ©sire et fais. 3. je ne peux prendre conscience de ce qui Ă©chappe radicalement Ă  la conscience hypothĂšse de l’inconscient de Freud le moi Ă©tant le centre du champs conscientiel ne se confond pas avec la totalitĂ© de la psyché  il y a donc lieu de distinguer entre le moi et le soi, le moi n’étant que le sujet de la conscience, alors que le soi est le sujet de la totalitĂ© de la psychĂ©, y compris l’inconscient » selon Jung pour qui le moi n’est qu’ une Ăźle dans les flots ». TR je ne suis pas que ce que j’ai conscience d’ĂȘtre mais cette conscience peut ĂȘtre plus grande mĂȘme si bornĂ©e. Mais mĂȘme si je sais davantage qui je suis, suis-je au sens d’exister pour autant ce que j’ai conscience d’ĂȘtre ? III. il n’y a pas nĂ©cessairement Ă©galitĂ© entre ce qu’est mon existence et ce que je sais ĂȘtre 1. la vie en sociĂ©tĂ© peut exiger que je ne sois au dehors tel que je me sais ĂȘtre au-dedans. 2. avoir conscience d’ĂȘtre ceci ou cela, ce n’est plus l’ĂȘtre tout Ă  fait ĂȘtre conscient d’ĂȘtre dans l’effort, c’est se regarder faire, distance critique, peut-ĂȘtre rire de soi, donc ne plus ĂȘtre tout Ă  son effort, ni cet effort. Cela altĂšre ce que l’on est, fait qu’on ne colle plus Ă  soi, on est Ă  distance, plus lĂ , dĂ©jĂ  ailleurs. 3. comme on est conscient, on change, on devient, donc on ne peut se rĂ©duire Ă  ce qu’on est lĂ . On nie ce qui est, on est un projet. Comme l’homme est conscient, il est le seul ĂȘtre chez qui l’existence prĂ©cĂšde l’ essence », comme le dit Sartre. C’est au fur et Ă  mesure que je me dĂ©finis, que je deviens moi. Donc je ne suis jamais ce que j’ai conscience d’ĂȘtre, je deviens moi au fur et Ă  mesure que je prends conscience de moi. et cela demeure vrai mĂȘme si on remet en question Freud en soutenant comme Alain que le moi se rĂ©duit Ă  ce dont on a ou peut avoir conscience, puisque il n’y a pas d’autre moi en moi Ă  part moi.

Suisje ce que j’ai conscience d’ĂȘtre ? Il s’agit de confronter la conscience de soi Ă  mon ĂȘtre rĂ©el. Elle est un pouvoir de reprĂ©sentation permettant Ă  l’homme d’avoir la connaissance des choses et de lui-mĂȘme. La conscience est Ă©tymologiquement cum et scientia. Elle accompagne le savoir et la connaissance.
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CorrigĂ©Suis-je ce que j'ai conscience d'ĂȘtre La conscience est un pouvoir de reprĂ©sentation permettant Ă  l’homme d’avoir la connaissance des choses et de lui-mĂȘme. Il sait qu’elles existent et il a la connaissance immĂ©diate de sa propre existence ainsi que de ses Ă©tats et de ses actes. Le terme signifie Ă©tymologiquement « avec la

\n\n\n\n suis je ce que j ai conscience d ĂȘtre corrigĂ©

Suisje ce que j’ai conscience d’ĂȘtre ?- La conception traditionnelle du moi dans la philosophie moderne.- La critique de la conception traditionnelle.- La c

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1 la vie en sociĂ©tĂ© peut exiger que je ne sois au dehors tel que je me sais ĂȘtre au-dedans. 2. avoir conscience d’ĂȘtre ceci ou cela, ce n’est plus l’ĂȘtre tout Ă  fait : ĂȘtre conscient d’ĂȘtre dans l’effort, c’est se regarder faire, distance critique, peut-ĂȘtre rire de soi, donc ne plus ĂȘtre tout Ă  son effort, ni cet effort. VE5NvOu. 78 31 406 378 53 362 289 484 463

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