Bonjour a mon avis, parfois non car certaines personnes commetes des erreurs, des mauvais actes, et en plus disent: pour moi ce que j'ai fait n'a rien de mal, donc ils pensent qu'ils sont gentille qu'il n'on jamais fait de mal alors que ce que pense leur entourage et tout le contraire. C'est pourquoi ils continuent de faire le mal,ils ne sont pas conscient de ce qu'ils
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Aussi le problĂšme se pose-t-il de savoir si je suis ce que jâai conscience dâĂȘtre. Pour le savoir un examen attentif de la question nous amĂšnera Ă interroger lâapport de la conscience Ă la connaissance de soi en distinguant soigneusement le pouvoir de connaissance de la conscience rĂ©flĂ©chie de celui, peu fiable, de la conscience immĂ©diate. Partie 1 ProblĂ©matisation de la questiona Analyse du libellĂ© du sujetâ Structure A ?=? B. ?=? SUIS »Y a-t-il conformitĂ© entre⊠. B = Ce que JE ai conscience dâĂȘtrele contenu de la conscience de soi⊠. A = JeâŠet son objet? => La question porte sur la portĂ©e cognitive de la conscience de soi il sâagit de savoir si la conscience de soi est susceptible de mâapprendre ce que je suis, quelle est mon essence â La conscience de soi Ă©tant lâapprĂ©hension que lâon a de ce que lâon est, la question est de savoir si ce savoir », introspectif, est vĂ©ridique, sâil rend bien compte de ce sur quoi il porte, et donc sâil est une bonne voie dâaccĂšs Ă la connaissance de Mise en Ă©vidence des principaux si la conscience de soi rend bien compte de ce que lâon est, suppose que lâon sous-entende 1 que la conscience de soi est en quelque façon, mĂȘme si elle lâest mal, facultĂ© de connaissance de soi la conscience de soi est posĂ©e comme conscience-savoir de CE que je suis. La conscience de soi nâest-elle pas plutĂŽt conscience dâexister plutĂŽt que conscience claire ou non dâĂȘtre tel ou tel ? 2 que JE sois qqc, et donc en quelque maniĂšre dĂ©finissable, titulaire pour ainsi dire dâune essence. Y a-t-il un CE que je sois ? Lâexistence ne prĂ©cĂšde-t-elle pas mon essence ? 3 quâil y ait moyen de savoir si la conscience dit vrai. Doit-on admettre une voie dâaccĂšs Ă la rĂ©alitĂ© autre que celle de la conscience â qui permette dâĂ©valuer par comparaison les donnĂ©es de la conscience ? On peut douter quâil soit possible de faire lâĂ©conomie de la conscience pour savoir ce que lâon est⊠=> Nây aurait-il pas lieu de distinguer entre des niveaux de conscience diffĂ©rents ? c Elaboration de la problĂ©matique Question-mĂšre comment savoir si JE = CE que jâai conscience dâĂȘtre ? En me demandant 1 si la conscience mâapprend quoi que ce soit sur moi-mĂȘme, et sâil y a lieu de distinguer entre des nivaux de savoir diffĂ©rents, plus valablement instructifs les uns que les autres Question Y a-t-il un savoir sur soi-mĂȘme auquel la conscience de soi puisse prĂ©tendre?A quoi ou Ă qui faire appel pour rĂ©pondre Ă cette question? A Descartes, qui a cherchĂ©, avant nous, Ă savoir ce quâil pouvait savoir de ce quâil Ă©taitCf. MĂ©ditation 2 2 si le savoir ainsi obtenu est susceptible dâĂȘtre suffisant, en tant que savoir. Ce qui amĂšne Ă interroger les donnĂ©es de la conscience pour savoir si elle sont fidĂšles, si elles rendent bien compte de ce que je suis, bien cĂ d de façon complĂšte â sans lacunes constitutives et de façon non dĂ©formĂ©e. A qui ou Ă quoi faire appel?A ceux qui ont suspectĂ© la vĂ©racitĂ© de la conscience, Spinoza, Nietzsche et Freud. Partie 2 Recherche dâune solution au Que puis-je savoir sur moi-mĂȘme Ă lâaide de la conscience que jâai de moi-mĂȘme?Cf. Descartes 1 spontanĂ©mentâŠpas grand chose de clair et de sĂ»r 2 de façon rĂ©flĂ©chieâŠapparemment moins mais mieux 3 ConsĂ©quenceIl y a conscience et conscience Ce que jâai conscience dâĂȘtre nâest pas aussi susceptible dâĂȘtre fidĂšle Ă ce que je suis selon que je mâen tiens Ă ce que jâĂ©prouve spontanĂ©ment ou que jâexamine mes impressions avec circonspection. B. La conscience de soi nâest-elle pas mĂ©connaissance de soi?1 La conscience de soi ne connaĂźt-elle pas des limites quâelle ignore et qui gĂ©nĂšrent ainsi des illusions ?Cf. Spinoza 2 La conscience de soi nâest-elle pas trompeuse la pensĂ©e consciente nâest elle pas le jouet dâune sorte de volontĂ© organique dont je nâai nulle conscience immĂ©diate et qui me fait faire ce que je fais Ă mon Nietzsche 3 La conscience nâest-elle pas piĂ©gĂ©e par des forces qui la tiennent Ă lâĂ©cart et qui pourtant dĂ©terminent ma Freud moi pris en Ă©tau entre le ça et le sur-moi avec pour effets les actes manquĂ©s et phĂ©nomĂšnes nĂ©vrotiques. C. La mĂ©connaissance est-elle inĂ©luctable ?1 Issue spinoziste connaissance du troisiĂšme genre; conscience ajustĂ©e Ă lâEtre, par la Raison. 2 Issue NietzschĂ©enne philosophie du soupçon [conscience suspectĂ©e par la conscience, chemin de luciditĂ©]. 3 Issue Freudienne dĂ©senclaver le moi, grĂące Ă lâĂ©vocation de ce qui nous anime, voie de guĂ©rison. ConclusionLivrĂ©e Ă elle mĂȘme, la conscience spontanĂ©e est source dâerreurs et dâillusions, dupe, manipulĂ©e et donc condamnĂ©e Ă la mĂ©connaissance. Si je veux avoir chance de savoir ce que je suis, il faut Ă©lever ma conscience au niveau, supĂ©rieur, de la conscience rĂ©flĂ©chie. Ce que Socrate dĂ©jĂ aidait ses interlocuteurs Ă faire. Ce que Descartes nous a appris Ă effectuer, chacun pour notre compte. Ce que rĂ©alise lâentreprise philosophique. Pascal lui-mĂȘme Ă©tait pleinement averti de la nĂ©cessitĂ© dâun tel passage par la philosophie, puisque, concluant sa rĂ©flexion sur le pouvoir confĂ©rĂ© Ă lâhomme par la conscience, il Ă©crivait travaillons donc Ă bien penser ! »
Demandezvous ce qui distingue le rationnel et le raisonnable et si le rationnel peut ĂȘtre dĂ©raisonnable. En obĂ©issant Ă un commandement raisonnable c'est au meilleur de moi mĂȘme que j'obĂ©is: en acceptant ce qui est conforme ai bien, je consens Ă ma propre rĂ©alisation comme ĂȘtre raisonnable, personne, fin en soi.
Exemples dâintro possible et plan dĂ©taillĂ© Intro 1 En logique, dans un jugement dâattribution entre deux termes, le verbe ĂȘtre » comme copule Ă©tablit un rapport de comprĂ©hension ou dâinclusion entre ces 2 termes. Cela signifie que le 1er terme est compris, englobĂ© dans le second ou mĂȘme Ă©gal au second comme par exemple dans je suis un ĂȘtre humain », je suis moi ». En ce sens, on pourrait aussi dire que je suis ce dont jâai conscience, la conscience Ă©tant ce qui me permet de parvenir Ă me sentir, Ă me dire et me reprĂ©senter comme un Je. Mais ĂȘtre a aussi un sens existentiel. Dans ce sens, une chose est ; si elle a une rĂ©alitĂ© effective, si elle existe de fait. Or on peut penser que si jâai conscience de ce que je suis, je ne suis pas nĂ©cessairement toujours ou encore de fait ce que je pense ĂȘtre, ce que je sais ĂȘtre. Il peut y avoir un Ă©cart entre ce que je suis pour moi et ce que je suis de fait. Aussi on peut se demander si je suis ce que jâai conscience dâĂȘtre. Câest donc du problĂšme de lâidentification du moi et de la rĂ©alisation de soi dont nous allons traiter. Nous nous demanderons donc si le Je nâest pas ce que jâai conscience dâĂȘtre ; si jâexiste de fait tel que je suis pour moi et si on peut rĂ©ellement rĂ©duire le moi Ă ce dont jâai conscience de moi. Intro 2 Le je dĂ©signe dâabord le sujet en tant quâil prend conscience de lui-mĂȘme et quâil a un sentiment dâunitĂ© et dâunicitĂ©. Se penser Je, Ă la premiĂšre personne, câest se savoir ĂȘtre soi et pas un autre, se savoir demeurer soi sous les diffĂ©rents Ă©tats de conscience. En ce sens, il semble que le je soit intimement liĂ© Ă la conscience et soit rĂ©ductible Ă celle-ci. Mais le je dĂ©signe aussi le moi empirique, câest-Ă -dire tout ce que je suis de fait, mes caractĂ©ristiques physiques, organiques et psychiques. Si je me vois extĂ©rieurement, je ne me vois pas nĂ©cessairement intĂ©rieurement dans mon ensemble, dans tout ce qui me constitue. Dans ce cas, il se pourrait que ce que je suis excĂšde ce que jâai conscience dâĂȘtre. Cela expliquerait que je puisse mâĂ©tonner moi-mĂȘme, me surprendre Ă faire quelque chose que je ne me croyais pas capable de faire ou que je puisse ne pas me comprendre et me chercher. Aussi on peut se demander si je ne suis que ce que jâai conscience dâĂȘtre. Câest donc du problĂšme de lâidentification du moi, de ses limites, de nos possibilitĂ©s de le saisir dans son intĂ©gralitĂ© et de lâincarner dont nous allons traiter. Nous nous demanderons donc si ce nâest pas parce que je suis conscient que je possĂšde le je dans ma propre reprĂ©sentation, si pour autant ma conscience embrasse tout ce que je suis et si enfin jâexiste tel que je suis pour moi. Plan I. je suis parce que je suis conscient et ce que je suis, câest ce dont jâai conscience 1. Câest parce que nous sommes dotĂ© de la conscience rĂ©flĂ©chie quâen mĂȘme temps quâon perçoit quâon perçoit quâon sâentraperçoit et prend conscience que lâon est. Je pense donc je suis » Descartes 2. prendre conscience de soi, ce nâest pas sâarrĂȘter Ă ce dont on a une conscience immĂ©diate, câest porter un jugement et par lĂ se connaĂźtre, sâidentifier. Je vais me dĂ©finir par ce dont jâai conscience de moi-mĂȘme mon corps, mon caractĂšre, mes dĂ©sirs, etc⊠3. ce dont je nâai pas conscience ne peut ĂȘtre dans la dĂ©finition de ce que je suis pour moi. Tr mais la conscience ne peut-elle pas ĂȘtre lacunaire et dans ce cas, ce que je suis en soi ne peut-il pas excĂ©der ce que je suis pour moi ? II. je ne suis pas en soi que ce que je suis pour moi. 1. je ne sais de moi que ce dont je veux bien prendre conscience mauvaise foi, divertissement,⊠2. je ne sais pas tout de moi, conscience superficielle de moi-mĂȘme Nietzsche ou Spinoza Ce dont jâai conscience, câest ce que je veux, dĂ©sire et fais mais non les causes qui expliquent ce que je veux, dĂ©sire et fais. 3. je ne peux prendre conscience de ce qui Ă©chappe radicalement Ă la conscience hypothĂšse de lâinconscient de Freud le moi Ă©tant le centre du champs conscientiel ne se confond pas avec la totalitĂ© de la psyché⊠il y a donc lieu de distinguer entre le moi et le soi, le moi nâĂ©tant que le sujet de la conscience, alors que le soi est le sujet de la totalitĂ© de la psychĂ©, y compris lâinconscient » selon Jung pour qui le moi nâest quâ une Ăźle dans les flots ». TR je ne suis pas que ce que jâai conscience dâĂȘtre mais cette conscience peut ĂȘtre plus grande mĂȘme si bornĂ©e. Mais mĂȘme si je sais davantage qui je suis, suis-je au sens dâexister pour autant ce que jâai conscience dâĂȘtre ? III. il nây a pas nĂ©cessairement Ă©galitĂ© entre ce quâest mon existence et ce que je sais ĂȘtre 1. la vie en sociĂ©tĂ© peut exiger que je ne sois au dehors tel que je me sais ĂȘtre au-dedans. 2. avoir conscience dâĂȘtre ceci ou cela, ce nâest plus lâĂȘtre tout Ă fait ĂȘtre conscient dâĂȘtre dans lâeffort, câest se regarder faire, distance critique, peut-ĂȘtre rire de soi, donc ne plus ĂȘtre tout Ă son effort, ni cet effort. Cela altĂšre ce que lâon est, fait quâon ne colle plus Ă soi, on est Ă distance, plus lĂ , dĂ©jĂ ailleurs. 3. comme on est conscient, on change, on devient, donc on ne peut se rĂ©duire Ă ce quâon est lĂ . On nie ce qui est, on est un projet. Comme lâhomme est conscient, il est le seul ĂȘtre chez qui lâexistence prĂ©cĂšde lâ essence », comme le dit Sartre. Câest au fur et Ă mesure que je me dĂ©finis, que je deviens moi. Donc je ne suis jamais ce que jâai conscience dâĂȘtre, je deviens moi au fur et Ă mesure que je prends conscience de moi. et cela demeure vrai mĂȘme si on remet en question Freud en soutenant comme Alain que le moi se rĂ©duit Ă ce dont on a ou peut avoir conscience, puisque il nây a pas dâautre moi en moi Ă part moi.
Suisje ce que jâai conscience dâĂȘtre ? Il sâagit de confronter la conscience de soi Ă mon ĂȘtre rĂ©el. Elle est un pouvoir de reprĂ©sentation permettant Ă lâhomme dâavoir la connaissance des choses et de lui-mĂȘme. La conscience est Ă©tymologiquement cum et scientia. Elle accompagne le savoir et la connaissance.
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CorrigĂ©Suis-je ce que j'ai conscience d'ĂȘtre La conscience est un pouvoir de reprĂ©sentation permettant Ă lâhomme dâavoir la connaissance des choses et de lui-mĂȘme. Il sait quâelles existent et il a la connaissance immĂ©diate de sa propre existence ainsi que de ses Ă©tats et de ses actes. Le terme signifie Ă©tymologiquement « avec la
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suis je ce que j ai conscience d ĂȘtre corrigĂ©
Suisje ce que jâai conscience dâĂȘtre ?- La conception traditionnelle du moi dans la philosophie moderne.- La critique de la conception traditionnelle.- La c
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