Marjolaine le printemps fleurit Marjolaine, j'étais soldat Mais aujourd'hui Je reviens près de toi Tu m'avais dit : "Je t'attendrai" Je t'avais dit: "Je reviendrai" J'étais parti encore enfant Suis revenu un homme maintenant Marjolaine, toi si

Paroles de la chanson Histoire Vécue par Yves Jouffroy Tu m'avais dit "Pour le printemps Je t'offrirai un bel enfant" Nous étions fous, nous étions deux Qu'il était doux d'être amoureux Avec l'automne, les feuilles se sont fanées C'est en hiver que c'est arrivé. Tu conduisais vite, la route était verglacée Je crois qu'il neigeait, tu m'as quitté. On s'était dit "C'est pour la vie" Je porte encore ton anneau d'or J'aimerais crier, ne plus pleurer Ca sert à quoi ? Jamais tu ne reviendras. Parlé Oh mon Amour, mon tendre Amour Ce soir encore je suis tout seul, un peu perdu. Épinglée sur le mur de notre chambre, en face de mon lit Il y a ta dernière lettre, un peu froissée. Je la connais par coeur Voix de femme, parlé Mon Chéri, cet enfant que je t'avais promis pour le printemps, Tu sais, nous l'appellerons Clément. Je suis folle de joie, je pars ce soir Demain je serai dans tes bras, je t'aime Avec l'automne, les feuilles se sont fanées C'est en hiver que c'est arrivé. Tu conduisais vite, la route était verglacée Je crois qu'il neigeait, tu m'as quitté Mais je ne t'oublie pas
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Paroles de la chanson "Gentil coquelicot" Chanson "Gentil coquelicot" pour chanter avec les enfants. Paroles avec version pour carnet de chants. Retrouvez encore plus d'idées de Chanson printemps Gentil coquelicot le texte de la chanson Je descendis dans mon jardin Je descendis dans mon jardin Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coquelicot, Mesdames, Gentil coquelicot, nouveau. J'en avais pas cueilli trois brins J'en avais pas cueilli trois brins Qu'un rossignol vint sur ma main. Refrain Il me dit trois mots en latin Il me dit trois mots en latin Que les hommes ne valent rien. Refrain Et les garçons encore bien moins Et les garçons encore bien moins Des dames, il ne me dit rien. Refrain Des dames, il ne me dit rien Des dames, il ne me dit rien Mais des demoiselles beaucoup de bien. Refrain Gentille coquelicot écouter la chanson Ecouter la chanson Gentil coquelicot Gentil coquelicot la fiche à imprimer Cliquez sur l'image pour l'imprimer
TOIQUI SAIT est une chanson en Français. TOI QUI SAIS. Tu m'as dit : "Reprenons notre liberté. C'est fini, il vaut beaucoup mieux nous quitter. Et refaire sa vie chacun de son côté. Voici la fin d'un long poème" Je t'ai dit : "C'est bien ! Mais il te faut m'aider : 'y a quelqu'un qui m'aime et m'attend à côté.
Tu m'avais dit "Pour le printemps Je t'offrirai un bel enfant" Nous étions fous, nous étions deux Qu'il était doux d'être amoureux Avec l'automne, les feuilles se sont fanées C'est en hiver que c'est arrivé. Tu conduisais vite, la route était verglacée Je crois qu'il neigeait, tu m'as quitté. On s'était dit "C'est pour la vie" Je porte encore ton anneau d'or J'aimerais crier, ne plus pleurer Ca sert à quoi ? Jamais tu ne reviendras. Parlé Oh mon Amour, mon tendre Amour Ce soir encore je suis tout seul, un peu perdu. Épinglée sur le mur de notre chambre, en face de mon lit Il y a ta dernière lettre, un peu froissée. Je la connais par coeur Voix de femme, parlé Mon Chéri, cet enfant que je t'avais promis pour le printemps, Tu sais, nous l'appellerons Clément. Je suis folle de joie, je pars ce soir Demain je serai dans tes bras, je t'aime Avec l'automne, les feuilles se sont fanées C'est en hiver que c'est arrivé. Tu conduisais vite, la route était verglacée Je crois qu'il neigeait, tu m'as quitté Mais je ne t'oublie pas Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
ÉcoutezTu M'avais Dit de Pascal Obispo, 39,368 Shazams. Découvert grâce à Shazam, l'application de découverte musicale. Tu M'avais Dit - Pascal Obispo | Shazam N°92 - janvier 2021 Les vieux » par Marie Rajablat Marie Rajablat Infirmière psychiatrique retraitée, animatrice SOS Méditerranée Si les seniors » sont perçus comme des personnes actives, insérées dans la vie sociale ou économique, les personnes… Lire la suite N°92 - janvier 2021 Georges Y. Federmann, entretiens, Le Serment de Yoram » médecin des exilés par Françoise Lagabrielle Il s’agit d’une plaquette totalement strasbourgeoise, publiée par Origine, coll. Prophète en son pays », 2020. Présenté par ses amis, Georges Y. Federmann explique sa pratique de psychiatre … Lire la suite N°92 - janvier 2021 Humanité et soin en gériatrie fin 2020 par Sophie Moulias Sophie Moulias Médecin gériatre Depuis mars 2020, avec le confinement, le port du masque, les rapports interhumains ont changé. Où en est aujourd’hui l’humanité dans le soin masqué ? Les réflexions… Lire la suite N°91 - octobre 2020 Pratiques des méthodes somatiques en période de confinement corps pliés, corps dépliés par Nathalie Touaty Nathalie Touaty Praticienne-enseignante certifiée Feldenkrais™ depuis 2004. Master Danse Université Paris 8, Techniques du corps et monde du soin » Université Paris 8. Elle travaille à Marseille… Lire la suite N°90 - juillet 2020 1943 année préparatoire à la médecine, université de Strasbourg-Clermont Ferrand par Françoise Lagabrielle Françoise Lagabrielle, Médecin psychiatre retraitée, membre du Collectif Aquitaine de réflexion sur l’éthique biomédicale. Un médecin aux cheveux blancs et belle barbe de même couleur entre en se… Lire la suite N°90 - juillet 2020 Chronique d’une journée extra ordinaire par Caroline Lecollaire Caroline Lecollaire, Ergothérapeute à La Réunion Aujourd’hui, on aurait dû faire, avec certains patients de notre unité fermée, une sortie thérapeutique comme il y en a quelques dimanches par an,… Lire la suite N°89 - avril 2020 Du tabou à la perte de sens par Anne Perraut Soliveres, Léa Schleck Entretien avec Léa Schleck, Médecin généraliste. Une jeune médecin généraliste partage son sentiment quant à la crise actuelle du système de soins. Entre le tabou des aspects relationnels du métier de… Lire la suite N°89 - avril 2020 De l’impossible compression du soin par Cédrick Moreau Cédrick Moreau, Médecin généraliste. Quand la maladie révèle la nécessité pour une personne de s’éloigner de ce qui la rend malade le travail ou son absence, les attentes de la société qui la mettent… Lire la suite N°89 - avril 2020 Art, ville, médecine une entente préalable ? par Isabelle Ferré Isabelle Ferré, Art-thérapeute, artiste, géographe-urbaniste. Comment et avec quels moyens déployer, au cœur même de l’espace public, des équipements où se croiseraient médecins, artistes,… Lire la suite N°89 - avril 2020 Réflexivité et formation soignante par Catherine Thomas Catherine Thomas, Anthropologue. L’apport de l’anthropologie dans les formations soignantes apparaît bien souvent insignifiant. Cependant, les étudiants, en grande partie formés au travers de… Lire la suite N°89 - avril 2020 Au nom de la colère par Clémence Le Joubioux Clémence Le Joubioux, Médecin généraliste. Dans un monde empreint de violences et de discriminations, de privilèges et d’austérité, quelle est la place laissée à l’utopie et à la solidarité ? En… Lire la suite N°89 - avril 2020 Je me souviens par Fabrice Leroy Fabrice Leroy, Psychologue au Centre médico psychopédagogique CMPP La Passerelle à Paris, psychanalyste. Je me souviens. Les couloirs, les blouses blanches, le blues au fond des yeux. Le… Lire la suite N°88 - janvier 2020 Cherche psychiatre désespérément par Jean-Luc De la Rue Jean-Luc De La Rue Éducateur Educ de rue, diplôme d’État d’éducateur spécialisé, 30 ans d’expérience, cherche désespérément psychiatre pour aide et soutien à son action éducative ! » Cette petite… Lire la suite N°88 - janvier 2020 L’IME où je suis accueilli par Thomas Rime Thomas Rime Tolten Psychologue clinicien à l’IME La Pinède Jacou 34 Je ne sais pas si je vais faire toute ma vie à l’Institut médico-éducatif IME, je ne sais pas si je suis définitivement… Lire la suite N°88 - janvier 2020 L’Être et le Lieu par Frédérique Astruc, Marina Deleuze Frédérique Astruc Marina Deleuze Accueillantes permanentes au Lieu de vie Le Pas sage » Si ces enfants-là, dits autistes » ou psychotiques », s’épuisent de ne pas pouvoir exister, c’est avant tout… Lire la suite N°87 - octobre 2019 Faute de grives… par Olivier Boitard Olivier Boitard Psychyatre On mange des merles. Vous pouvez chercher désespérément un médecin, vous n’en trouverez pas. Quelques alternatives Comme le recommande le ministère de la Santé,… Lire la suite N°87 - octobre 2019 Un psychiatre dans le territoire ? par Eric Bogaert Éric Bogaert Psychiatre de secteur retraité Trouver un psychiatre dans un dispositif de santé organisé sur la base du territoire espace ? Histoire ou science-fiction temps. Pour ça, le secteur… Lire la suite N°87 - octobre 2019 Saint-Alban sur Limagnole par Isabelle Canil Isabelle Canil Orthophoniste Nous avons été trois de Pratiques à nous rendre aux 34e Rencontres de Saint-Alban, les 14 et 15 juin derniers.. Saint-Alban sur Limagnole. En Lozère. C’est loin.… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Je dirai…s tout par Lanja Andriantsehenoharinala Lanja Andriantsehenoharinala Médecin généraliste Cette fois, je dirai tout. Je dirai que j’entends bien les épreuves par lesquelles elle est passée, mais qu’elle n’est pas obligée de mentir, ici.… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Entre vérité et mensonge par Eric Bogaert Éric Bogaert Psychiatre de secteur retraité Dans la relation patient-soignant, où situer vérité et mensonge ? La dramaturgie de la rencontre entre un être qui souffre et celui auquel il s’adresse de… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Un jour, je me suis réveillée autre par Anne Gil Anne Gil Sans profession Un matin du printemps 1996, j’avais perdu la raison. Je ne m’en suis pas aperçue tout de suite le monde avait changé de couleur et celle de la veille était devenue opaque,… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Incertitude quoi de neuf sous le soleil de la modernité ? par Lanja Andriantsehenoharinala Lanja Andriantsehenoharinala Médecin généraliste L’incertitude, un point de départ peut-être utile pour explorer le couple dual vérités-mensonges. Incertitude partout La pratique soignante est une… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Trop de vérité par Martine Devries Martine Devries Médecin généraliste retraitée Début septembre, alors que j’étais de retour de vacances prolongées, contente d’être à nouveau chez moi et de reprendre mes activités, soudain, comme un… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Taire ce qui n’est pas entendu – n° 1 par Célia Sciuto Célia Sciuto Médecin Femme, 31 ans, auxiliaire de vie J’ai eu un très très gros désaccord avec mon médecin sur ma décision de me faire stériliser… Autant ça s’était vachement bien passé avec elle… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Taire ce qui n’est pas entendu – n° 2 par Célia Sciuto Célia Sciuto Médecin Homme, 52 ans, ancien gendarme, magasinier cariste, chômeur Mon médecin m’avait fait un courrier pour un… médecin généraliste, mais qui fait des consultations d’addictologie… et je… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Vérité, vertueuse ou vertigineuse ? par Véronique Comparin-Ainard, Marie-Laure Tourenq Véronique Comparin-Ainard Psychologue clinicienne, Unité de soins palliatifs et Consultation douleur chronique, Hôpital Joseph Ducuing, Toulouse Marie-Laure Tourenq Psychologue clinicienne, Réseau… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Ne jamais dire jamais… par Mathilde Boursier Mathilde Boursier Médecin généraliste ...ni toujours ! Car la vérité » est anagramme de relative » On a affirmé à celui-ci qu’il devrait se piquer quatre fois par jour, si ce n’est plus, pour toujours, et… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Je dis stop par Séraphin Collé Séraphin Collé Médecin généraliste Écrire sur sa pratique implique d’utiliser le je. Mais ce jeu ne pourrait pas se faire sans le tu. Alors comment faire, si tu es absent, pour t’expliquer sans… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Carabistouille ? par Sylvie Cognard Sylvie Cognard Médecin généraliste retraitée Vendredi soir 20 heures. Le docteur Bertrand ramasse ses affaires pour rentrer chez lui. C’est à ce moment que Julie, quinze ans, arrive pour quelque… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Le soin avec toutes autres choses par Marie Haloux Marie Haloux Récits d’ateliers d’écriture avec des participants volontaires, des adultes et des adolescents, curieux de découvrir, d’explorer cette approche. Ces ateliers se sont déroulés au sein… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Mensonge et vérité, contrepoint par Martine Devries Martine Devries Médecin généraliste retraitée Trop de vérité, me fait dire l’épisode précédent, surtout quand la vérité est une erreur… Mais dans l’histoire suivante, pas d’erreur, et pas de vérité… Pour… Lire la suite N°86 - juillet 2019 Le coût de la panne par Axelle Moret-Soer Axelle Moret-Soer Interne en médecine générale La vie d’interne de médecine générale comporte, comme toute expérience, son lot de premières fois. Les premières douleurs de tel ou tel type, le premier… Lire la suite N°85 - avril 2019 Demain il y a école… par Victor Victor Professeur des écoles On dit trop souvent qu’à l’école on doit apprendre à lire, écrire, compter. Mais, ce qu’on omet souvent, c’est qu’à l’école on chante aussi des chansons, on participe à des… Lire la suite N°85 - avril 2019 Prendre soin au temps des algorithmes par Marie-José Del Volgo, Roland Gori Roland Gori Psychanalyste, Professeur honoraire de psychopathologie clinique Aix Marseille – La nudité du pouvoir. Comprendre le moment Macron, Les liens qui libèrent, 2018 et Marie-José del… Lire la suite N°85 - avril 2019 Comme elle vient par Sylvie Cognard, Georges Yoram Federmann Entretien avec Georges Federmann Psychiatre Le film Comme elle vient est le deuxième volet d’un travail réalisé par Swen de Pauw, le premier étant Le divan du monde. Ce mouvement documentaire repose… Lire la suite N°85 - avril 2019 Un lieu formidable par Brigitte Brunel Brigitte Brunel Orthophoniste Au départ, on les a baptisés Maison bleue, verte, ouverte, petite… ou Jardin. Ces noms sont évocateurs d’enfance, d’abris, de chanson, de rencontres sur un banc au… Lire la suite N°85 - avril 2019 Des orthophonistes aux Ateliers suite par Sandrine Lombard Pour le premier article, voir Pratiques n° 83 Faire autrement pour se soigner. », page 91 Des orthophonistes aux Ateliers » par Isabelle Canil. Sandrine Lombard Orthophoniste Les Ateliers Claude… Lire la suite N°84 - janvier 2019 Ne confondons pas logopèdes et lagopèdes par Brigitte Cappe Brigitte Cappe Orthophoniste en pédopsychiatrie Quand les orthophonistes résistent à l’air du temps. L’étymologie nous éclaire sur deux modes de représentation de notre métier d’orthophonistes alors… Lire la suite N°84 - janvier 2019 La métaphore du champ de maïs par Manolis Kosadinos, Brian Stork Dr Brian Stork Traduction de l’anglais en français Emmanuel Kosadinos Première publication en anglais le 4 octobre 2015 sur le site La marchandisation… Lire la suite N°83 - octobre 2018 Une traversée par Marie-Annick Lalès Marie-Annick Lalès Médecin acupuncteur C’est en dehors des murs de l’hôpital et de la faculté que j’ai ouvert mon cœur et mon esprit et gagné ma liberté d’être dans ma pratique de médecin. Bonjour… Lire la suite N°83 - octobre 2018 Les croque-monsieur par Véronique Philippe Véronique Philippe Orthophoniste Parfois les petits plats peuvent aider à trouver les bons mots. A la salle à manger, la table est joliment dressée. Sur la longue table en bois, une nappe rose… Lire la suite N°83 - octobre 2018 Les maladies changent et nous aussi… par Anssoufouddine Mohamed Anssoufouddine Mohamed Cardiologue L’augmentation des maladies non-transmissibles et le fléchissement de la charge due aux maladies infectieuses dans les pays du Nord ont, avec un recul de… Lire la suite N°83 - octobre 2018 Du point de vue de l’accueil par Elodie Garcin Élodie Garcin Accueillante dans une maison médicale bruxelloise La première personne avec qui le patient entre en contact, c’est la personne à l’accueil. Comment sa présence et sa posture… Lire la suite N°83 - octobre 2018 Méditer pour soigner par Marina Dasse-Hartaut, Jean-Marc Grynblat Jean-Marc Grynblat Médecin gériatre et Marina Dasse-Hartaut Neuropsychologue Tout commence il y a quinze ans par une recherche de mieux-être, après plusieurs épisodes de burn-out finalement… Lire la suite
mention]Gloire Lecomte[/mention] a écrit: This innocence is brilliant, I hope that it will stay. This moment is perfect, please don't go away ! I need you no
Je vous propose aujourd’hui une activité d’intégration du vocabulaire de la description physique. C’est un bon outil pour commencer une unité sur le même thème tout en intégrant une touche culturelle par le biais de chansons d’artistes francophones. Activité préparatoire Tout d’abord, l’enseignant donne la feuille de vocabulaire sur la description physique ci-dessous Description-physique-fiche-us L’enseignant explique rapidement le vocabulaire et passe à l’activité suivante qui va permettre d’utiliser les différentes structures de la fiche de vocabulaire. L’activité consistera à écouter plusieurs chanteurs francophones et à imaginer à quoi ils ressemblent. Description de l’activité L’enseignant fournit une feuille où les étudiants doivent cocher leurs réponses Description-Physique-activite-us Attention, il n’y a pas de bonnes réponses puisque chaque étudiant va cocher des cases selon son imagination! L’enseignant fait écouter 3 à 5 morceaux en choisissant des artistes au physique et/ou à la voix particulière quelques suggestions Philippe Katerine, -M-, Serge Gainsbourg, Mademoiselle K, Christophe Willem, Etienne Daho et Dani, Julien Doré, Maître Gim’s…. Quand c’est fini, on demande aux étudiants de lever la main pour voir ce qu’ils ont coché, et au tableau, on fait un portrait du chanteur avec la majorité des réponses obtenues dans chaque catégorie. Puis, ensuite, vient la partie la plus drôle, quand on dévoile la vraie tête du chanteur. Rires assurés ! L’avantage de cette activité, c’est qu’elle aide les étudiants à intégrer le vocabulaire et certaines structures qui sont répétitives tout en s’amusant. L’enseignant amène aussi une touche culturelle en présentant des artistes francophones. Il est possible d’adapter cette activité pour des niveaux plus avancés en intégrant des structures plus complexes et du vocabulaire plus varié. Lorsqu’on révèle les images des chanteurs, on peut aussi faire parler les étudiants en travaillant les émotions ex es-tu suprise /étonnée?… et les opinions ex je ne pensais pas que…, je suis suprise parce que…. Activité bonus pour finir Fais ton portrait robot sur le site suivant Prof de FLE depuis 2003, je suis actuellement à Montréal, au Canada. Je travaille beaucoup avec les vrais débutants et je me concentre essentiellement à créer des ressources pour ce niveau. Dans mon temps libre, j'aime prendre des photos, et faire de la zumba! Ne ratez aucune nouveauté, préparez plus vite et dynamisez vos cours Decroire en moi Quand tu disais : « dans tes problèmes Tu trouveras la force de croire enfin en toi » Reviens moi pour cette nuit Redis moi que tu me croiras Aime moi jusqu’à l’infini Aime moi comme tu le voudras. En rentrant j’ai pleuré ma solitude Comme un triste gamin Qui découvre après une multitude De si tendres chagrins La douleur de quitter sans retour La chaleur d’un
Interprète Bourvil 1 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumé de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprès de moi Près de la rivière Où notre chaumière Bat comme un coeur plein de joie. 2 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Mais dans mes bras quelqu'un d'autre que toi Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprès de moi L'eau de la rivière Fleure la bruyère Et ton sommeil est à moi. 3 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumé de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Toi, mon enfant, tu es là ! Toi, mon enfant, tu es là ! BALLADE NORD IRLANDAISE BALLADE NORD IRLANDAISE Renaud Séchan - Renaud - 1991 J'ai voulu planter un oranger Là où la chanson n'en verra jamais Là où les arbres n'ont jamais donné Que des grenades dégoupillées Jusqu'à Derry ma bien aimée Sur mon bateau j'ai navigué J'ai dit aux hommes qui se battaient Je viens planter un oranger Buvons un verre, allons pêcher Pas une guerre ne pourra durer Lorsque la bière et l'amitié Et la musique nous feront chanter Tuez vos dieux à tout jamais Sans aucune croix l'amour ne se plaît Ce sont les hommes pas les curés Qui font pousser les orangers Je voulais planter un oranger Là où la chanson n'en verra jamais Il a fleuri et il a donné Les fruits sucrés de la liberté BALS POPULAIRES LES LES BALS POPULAIRES Michel Sardou , années 70/80 Dans les bals populaires L'ouvrier parisien La casquette en arrière, Tourne, tourne, tourne bien Dans les bals populaires Les Rachel du samedi Du bleu sur les paupières Tournent, tournent, tournent aussi REFRAIN Mais là-bas, près du comptoir en bois Nous on danse pas. On est là pour boire un coup, On est là pour faire les fous Et pour se reboire un coup Et pas payer nos verres. Pour boire un coup Et j' dirais même un bon coup Et rigoler entre nous Sur des airs populaires bis 2 Dans les bals populaires Quand l'accordéon joue Le tango des grand-mères Elles dansent entre elles et l'on s'en fout Dans les bals populaires On chante un peu c'qu'on veut Moins on fait de manière Et plus ça tourne, tourne mieux AU REFRAIN Dans les bals populaires3 Chacun veut sa chanson L'orchestre joue ce qu'il sait faire Ça tourne, tourne, plus ou moins rond Dans les bals populaires Quand le barman s'endort Même après la dernière Ça tourne,tourne, tourne encor' AU REFRAIN BAMBINO BAMBINO Les yeux battus la mine triste , et les joues blêmes Tu ne dors plus, Tu n'es plus que l'ombre de toi-même Seul dans la rue tu rôdes, comme une âme en peine Et tous les soirs sous sa fenêtre, on peut te voir Je sais bien que tu l'adores Bambino Bambino Et qu'elle a de jolies yeux Bambino Bambino Mais tu es trop jeune encore Bambino Bambino Pour jouer les amoureux Et gratte, gratte sur ta mandoline Mon petit Bambino Ta musique est plus jolie Que tout le ciel de l'Italie Et canta, canta de ta voix câline Mon petit Bambino Tu peux chanter tant que tu veux Elle ne te prend pas au sérieux Avec tes cheveux si blonds Bambino Bambino Tu as l'air d'un chérubin Bambino Bambino Va plutôt jouer au ballon Bambino Bambino Comme font tous les gamins BARCAROLE DES CONTES D'HOFFMAN BARCAROLLE DES CONTES D'HOFFMANN - Offenbach - 1880 - Altéry Belle nuit Oh nuit d'amour Souris à nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Le temps fuit et sans retour Emporte nos tendresses Loin de cet heureux séjour Le temps fuit sans retour Zéphyrs embrasés Bercez-nous de vos caresses Zéphyrs embrasés Bercez-nous de vos caresses Donnez-nous vos baisers Bercez-nous De vos baisers Bercez-nous De vos baisers Belle nuit Oh nuit d'amour Souris à nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Oh belle nuit d'amour Souris à nos ivresses Souris à nos ivresses Nuit d'amour Belle nuit Oh belle nuit d'amour BASTILLE À LA À LA BASTILLE REFRAIN À la Bastille, on l’aime bien, Lily peau d’chien, Elle est si belle et si gentille, On l’aime bien. Qui ça ? On l’aime bien, Qui ça ? À la Bastille ! 1. Quand elle était petite, le soir elle allait À Sainte Marguerite, où qu’elle s’ dessalait. Maint’nant qu’elle est grande, elle marche le soir Avec ceux d’la bande, rue Richard Lenoir ! 2. Elle à la peau douce, aux tâches de sang, À l’odeur de rousse qui donne le frisson Et de sa prunelle, au ton vert de gris L’amour étincelle, dans ses yeux d’souris ! 3. Quand le soleil brille, dans ses cheveux roux D’la Bastille lui fait les yeux doux Et quand elle s’promène, du bout d’ l’arsenal Tout l’quartier s’amène au pont du canal ! BATEAU DE PECHE LE LE BATEAU DE PÈCHE André Homez - Paul Misraki C’était un petit, tout petit voilier, Un petit bateau de pêche. On l’avait bâti d’un bout de papier Et d’un vieux noyau de pêche. Dans un petit port entre deux roseaux, On l’avait mis à l’amarre Il appareillait dès qu’il faisait beau. Pour naviguer sur la mare. Mais un jour, Le petit bateau fit un rêve À son tour, Il voulut entreprendre un voyage au long cours Alors il s’en fut magnifiquement Tout là-bas vers les tropiques, La vie qu’il menait lui donnait vraiment Des idées misanthropiques. En l’apercevant chaque nénuphar Craignait qu’un malheur n’arrive, Et le ver luisant qui servait de phare Lui criait “Rejoins la rive”. Mais il répondit d’un air malséant “Je ne crains pas les déboires, Aussi bien le fleuve et les océans Ce n’est pas la mer à boire ! Quel plaisir De voguer ainsi sur les ondes, Quel plaisir De pouvoir naviguer au gré de son désir ! Le ciel est tout bleu et le vent léger Tous ces braves gens divaguent Je me moque bien d’ailleurs du danger Car je n’ai pas peur des vagues”. Il ne savait pas qu’à côté de lui Un canard faisait trempette ; Pour notre bateau qui était si petit Cela fit une tempête. Et rapidement, je vous en réponds, Les événements se gâtent 36 /265 L’eau s’est engouffrée dans les entreponts Adieu la jolie frégate. “Sauve-qui-peut !” Criait le navire en détresse, “Sauve-qui-peut Je ne vais plus jamais revoir le beau ciel bleu”. BEAU LA VIE C'EST C'EST BEAU LA VIE Delecluse, Senlis, - Jean Ferrat Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil à l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre déjà roux Et son cri par-dessus tout Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j'ai cru trop vite À jamais perdu pour moi Pouvoir encore regarder Pouvoir encore écouter Et surtout pouvoir chanter Que c'est beau, c'est beau la vie Le jazz ouvert dans la nuit Sa trompette qui nous suit Dans une rue de Paris Que c'est beau, c'est beau la vie La rouge fleur éclatée D'un néon qui fait trembler Nos deux ombres étonnées Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce que j'ai failli perdre Tout ce qui m'est redonné Aujourd'hui me monte aux lèvres En cette fin de journée Pouvoir encore partager Ma jeunesse, mes idées Avec l'amour retrouvé Que c'est beau, c'est beau la vie Pouvoir encore te parler Pouvoir encore t'embrasser Te le dire et le chanter Oui c'est beau, c'est beau la vie BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS LES LES BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS Paroles Jean Laurent - Musique Gaston Gabaroche 1934 - Interprète Réda Caire - 1 - Non chanté ici Comme je t'aimais, comme on s'aimait J'étais alors encore enfant Et dans la vie gaiement j'allais Le coeur léger comme le printemps Les fleurs des champs et les prés verts Dont le parfum vous ennivrait Étaient pour moi tout l'univers Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait à Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'embrassait à chaque instant Quand on allait à Robinson Les beaux dimanches de printemps. 2 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Et puis le soir je me souviens Sous les guinguettes, comme on chantait Le coeur bercé de doux refrains J'étais grisé de mon bonheur Grisé d'air pur et l'on rentrait Les bras chargés de jolies fleurs Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait à Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'bécotait à chaque instant Quand on allait à Robinson Les beaux dimanches de printemps. 3 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Mais ce beau temps est bien passé Sans un baiser, d'un air distrait, Tu m' dis adieu, toujours pressée Alors je vis du souvenir Des soirs d'été où l'on faisait Des rêves fous pour l'avenir Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait à Robinson Comme il est loin ce joli temps Où je chantais comme un pinson J'ignorais toutes les trahisons La jalousie, la voix qui ment Quand on allait à Robinson Les beaux dimanches de printemps. BÉCASSINE IS MY COUSINE BÉCASSINE IS MY COUSINE Chantal Goya Elle est née un beau matin dans un berceau de bois Son père et sa mère n'en revenaient pas De voir cet enfant rose dodue à la fois Avec un nez qu'on ne voyait pas Aussitôt le village se préparait déjà Pour venir fêter ce baptême, mais voilà Il fallait un nom, elle n'en avait pas Mais son papa qui se trouvait là A dit "puisqu'elle ira en classe, A Clocher les Bécasses Moi j'ai trouvé comment il faut l'appeler" REFRAIN 1 Bécassine, c'est ma cousine Bécassine, on est voisine Quand je m'en vais voir ma grand-mère Qui habite au bord de la mer Je retrouve ma Bécassine Qui m'emmène au bout de la terre Bécassine, c'est ma cousine Bécassine, eh là cousine ! Marie-qui-louche m'amuse beaucoup Ensemble on fait les quatre cents coups Bécassine, tu nous rends fous Un soir Bécassine est parti pour le pensionnat Aider les enfants pour les vacances à Etretat Je m'ennuyais d'elle, on s'écrivait, oui mais voilà Ce n'était plus du tout comme autrefois Quand je partais avec elle à la ville, dans son automobile Dans son avion, faire des loopings au-dessus des îles REFRAIN 2 x3} Becassine is my cousine, Becassine is my voisine Oh when I'm feel I'm getting high I like dancing all the night, I find again my Becassine and all together we get high BÉLINDA BÉLINDA Claude François Il faut que je vous chante pour oublier Une étoile filante qui m'a quitté Vous pouvez m'aidez à la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Ça fait dix fois qu'elle s'en va et qu'elle revient C'est elle qui fait mon cœur et qui défait mon cœur de ses mains Si vous la voyer Vous la reconnaitrez Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Je devrais en avoir l'habitude Et l'attendre comme je l'ai fait souvent Mais j'entends crier ma solitude Je l'appelle et ma voix tombe dans le vent Elle est dans mon sommeil comme une fleur Un soleil sans soleil et sans chaleur Vous pouvez m'aider à la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda BELLA RAGAZZINA BELLA RAGAZZINA Paroles G. Koger, H. Vendresse Musique Vincent Scotto Interprète Tino Rossi 1936 1 -Chérie, tu m'avais promis tes caresses C'est pourquoi plein d'espoir Dans l'ombre je viens ce soir Il ne faut pas oublier ta promesse Car les baisers perdus Vois-tu, ne se retrouvent plus Allons, viens donc... - Refrain Bella Ragazzina Picola bambina Dans la nuit divine Viens tout près de moi Ma voix t'implore Mon coeur t'adore Dans la paix profonde Oubliant le monde Pour une seconde Je veux plein d'émoi T'aimer encore Rien qu'une fois Tra la la la Tra la la la la Ô Ragazzina Je suis fou de toi ! 2 -Jusqu'au matin, sous un ciel plein d'étoiles Je veux sans me lasser Te chérir et te bercer Passionnément je lèverai ton voile Pour poser sur ton cou Les baisers d'amour les plus fous Allons, viens donc... BELLE HISTOIRE UNE, UN BEAU ROMAN UNE BELLE HiSTOIRE, UN BEAU ROMAN Michel Fugain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, La-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont trouvés au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'était sans doute un jour de chance Ils avaient le ciel à portée de main Un cadeau de la providence Alors pourquoi penser au lendemain Ils se sont cachés dans un grand champ de blé Se laissant porter par les courants Se sont racontés leur vies qui commençaient Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants Qui s'étaient trouvés au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'était sans doute un jour de chance Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains Comme on cueille la providence Refusant de penser au lendemain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, la-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont quittés au bord du matin Sur l'autoroute des vacances C'était fini le jour de chance Ils reprirent alors chacun leur chemin Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main Il rentra chez lui, la-haut vers le brouillard Elle est descendue La-bas dans le midi C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui BELLE DE CADIX LA LA BELLE DE CADIX Vandair - Lopez - 1946 - Luis Mariano La Belle de Cadix a des yeux de velours La Belle de Cadix vous invite à l'amour Les caballeros sont là Si, dans la posada On apprend qu'elle danse ! Et pour ses jolis yeux noirs Les hidalgos le soir Viennent tenter la chance ! Mais malgré son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Ne veut pas d'un amant ! La Belle de Cadix a des yeux langoureux La Belle de Cadix a beaucoup d'amoureux Juanito de Cristobal Tuerait bien son rival Un soir au clair de lune ! Et Pedro le matador Pour l'aimer plus encor' Donnerait sa fortune ! Mais malgré son sourire et son air engageant La Belle de Cadix n'a jamais eu d'amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter N'a jamais eu d'amant ! La Belle de Cadix est partie un beau jour La Belle de Cadix est partie sans retour ! Elle a dansé une nuit Dans le monde et le bruit Toutes les seguidillas ! Et puis dans le clair matin Elle a pris le chemin Qui mène à Santa Filla ! La Belle de Cadix est entrée au couvent Mais malgré son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Est entrée au couvent ! Ah ! BELLE ÎLE EN MER BELLE ÎLE EN MER, MARIE-GALANTE A. Souchon - L. Voulzy, -1986 Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sépare Et vous laisse à part Moi des souvenirs d'enfance En France Violence Manque d'indulgence Par les différences que j'ai Café Léger Au lait mélangé Séparé petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sépare Et vous laisse à part Comme laissé tout seul en mer Corsaire Sur terre Un peu solitaire L'amour je le voyais passer Ohé, ohé Je le voyais passer Séparé petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement 38 /265 Belle-Île-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sépare Et vous laisse à part Karukera Calédonie Ouessant Vierges des mers Tous seules Tout le temps Vous c'est l'eau C'est l'eau Qui vous sépare Et vous laisse à part Hou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou BELLE ISABELLE BELLE ISABELLE Paroles Pierre Tchernia - Musique Jo Moutet Interprète Georges Guétary - 1 - Au mois de mai, belle Isabelle, Quand tu es née, belle Isabelle, On t'a nommée belle Isabelle Tu étais fraîche comme une fleur des champs Et ta maman, belle Isabelle, En te berçant, belle Isabelle, Chante souvent, belle Isabelle Cette chanson que lui chantait sa maman. La la la la La vie est belle, belle Isabelle La la la la Comme un bouquet au mois de mai. 2 -Tu as grandi, belle Isabelle, D'autres t'ont dit, belle Isabelle, Que tu es si belle, Isabelle, Qu'ils ont envie de le dire toute la vie Profites-en, belle Isabelle, Car le printemps, belle Isabelle, Ça n'a qu'un temps, belle Isabelle, Il faut cueillir le lilas quand il est là. La la la la La vie est belle, belle Isabelle, La la la la Les amoureux vont deux par deux. 3 -Un jour, naîtra une Isabelle, Tu souriras, belle Isabelle, Tu chanteras, belle Isabelle, Cette chanson que te chantait ta maman Y 'aura toujours des Isabelle Vive l'amour, la vie est belle Chacun son tour, belle Isabelle, D'avoir seize ans et d'attendre le printemps. La la la la La vie est belle, Belle Isabelle La la la la Belle Isabelle. BELLE NUIT, Ô NUIT D'AMOUR BELLE NUIT, Ô NUIT D'AMOUR Belle nuit, ô nuit d'amour, souris à nos ivresses Nuit plus douce que le jour, ô belle nuit d'amour Le temps fuit et, sans retour, emporte nos tendresses Loin de cet heureux séjour, le temps fuit sans retour Zéphirs embrasés, versez-nous vos caresses Zéphirs embrasés, versez-nous vos caresses
YEZDF. 207 412 197 154 48 224 296 442 185

chanson tu m avais dit pour le printemps